• Arthur C. Clarke visionnaire


     

     

     

     

    2001 l'odysée de l'epace 

      A l'aube de l'Humanité, dans le désert africain, une tribu de primates subit les assauts répétés d'une bande rivale, qui lui dispute un point d'eau. La découverte d'un monolithe noir inspire au chef des singes assiégés un geste inédit et décisif. Brandissant un os, il passe à l'attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est né.
    En 2001, quatre millions d'années plus tard, un vaisseau spatial évolue en orbite lunaire au rythme langoureux du "Beau Danube Bleu". A son bord, le Dr. Heywood Floyd enquête secrètement sur la découverte d'un monolithe noir qui émet d'étranges signaux vers Jupiter.
    Dix-huit mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter à bord du Discovery. Les deux hommes vaquent sereinement à leurs tâches quotidiennes sous le contrôle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel doué d'intelligence et de parole. Cependant, HAL, sans doute plus humain que ses maîtres, commence à donner des signes d'inquiétude : à quoi rime cette mission et que risque-t-on de découvrir sur Jupiter ?

     

    2010 l'année du premier contact

    Neuf ans se sont écoulés depuis l'incident du vaisseau Discovery, toujours en orbite autour de Jupiter. Pour le professeur Floyd, créateur du super robot HAL 9000, il est temps d'éclaircir ce mystère et ramener Discovery sur Terre. A bord du vaisseau Leonov, américains et soviétiques vont devoir s'unir pour lutter contre la folie de HAL...

     

     

     

    Arthur C. Clarke a formulé les trois lois suivantes :

    1. « Quand un savant distingué mais vieillissant estime que quelque chose est possible, il a presque certainement raison, mais lorsqu'il déclare que quelque chose est impossible, il a très probablement tort. »
    2. « La seule façon de découvrir les limites du possible, c'est de s'aventurer un peu au-delà, dans l'impossible. »
    3. « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie . »

     

     


    Arthur C. Clarke était comme de nombreux écrivains d'ailleurs, un visionnaire. Dans ses romans, il nous a donné l'opportunité de réfléchir à la façon dont nous sommes arrivés là, sur terre. Il utilisait son imagination pour se tenir éloigné du quotidien qui l'étouffait. C'est ainsi qu'il s'est dirigé très naturellement vers la science fiction et qu'il a par la même occasion soulevé une passion pour ce phénomène à travers le monde.

    Son premier roman de science fiction portait le nom ''Les enfants d'Icare''. Il s'agissait de vaisseaux spatiaux, d'extraterrestres ainsi que de l'évolution future de l'humanité. Clarke croyait en l'évolution, il s'inspirait donc de sa propre vision du monde pour écrire ses romans. Selon les scientifiques, les corps n'auraient pas eu la même apparence si la gravité de la terre aurait été plus forte, ou moins. Clarke l'avait bien compris et s'en servait. Il était tout simplement fasciné par une éventuelle vie extraterrestre et trouvait arrogant de fait de croire que nous puissions être les seules âmes vivant dans l'univers.

    Clarke pensait également que pour évoluer, l'homme devait quitter la terre, cela ressort d'ailleurs dans son livre,''Les enfants d'Icare''. Il était songeur quant aux voyages spatiaux et rêvait en secret de pouvoir y accéder un jour et c'est pour cette raison qu'en 1964 il s'est lancé dans un ambitieux voyage vers les étoiles en participant au film ''2001, l'Odyssée de l'espace''. Ce film est devenu depuis la référence des films de science fiction.

    Aujourd'hui, de riches entreprises comptent bien offrir aux riches éventuels voyageurs un aller retour en navette dans l'espace. Clarke est donc un visionnaire, parce qu'il avait déjà imaginé tout cela. Il suffira donc d'acheter un billet pour l'espace et de s'envoler tranquillement vers une destination presque inédite et très clairement magique. Bien entendu, les voyageurs seront au préalablement préparés à ce voyage, car ne supporte pas la vie dans l'espace qui veut. Mais cela n'enlèvera rien à la majesté du voyage.

    La navette une fois dans l'espace flottera en orbite basse et c'est à ce moment-là que ceux présents dans l'habitacle découvriront les joies de l'apesanteur. Ce sera extraordinaire.

    Clarke pensait qu'un jour, la technologie humaine pourrait se passer des fusées. Cela veut dire que toucher du bout des doigts les étoiles serait aisément réalisable, peut-être d'ailleurs à partir d'une éventuelle téléportation ou alors d'un ascenseur spatial. Il est très clair aujourd'hui que notre technologie ne nous le permet pas, mais sachant que l'homme ne plie jamais devant l'impossible, il est logique de penser qu'un jour, cette dernière téléportation pourrait être possible.

    Clarke pensait également que des intelligences artificielles pourraient guider nos voyages dans l'espace. Seul l'avenir nous le dira, mais il d'or et déjà possible de rêver à cela. Quoi qu'il en soit, Arthur C. Clarke était triste à la fin de sa vie de ne pas avoir vu toutes ses prédictions se réaliser. La science pour lui n'allait pas assez vite, ou du moins, ne mettait pas l'argent dans les bons projets. Cet homme est à ce jour encore influent dans le domaine de la science fiction et le restera sans doute pendant de nombreuses années encore.

     


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